Une start-up évoluant dans le secteur de la santé en phase de croissance était sur le point différentes catégories d'investisseurs (institutionnels, love-money) pour financer son développement.
Dans ce contexte, les fondateurs craignaient de perdre le contrôle stratégique de leur entreprise, tandis que les investisseurs exigeaient des droits spécifiques, notamment un droit de veto sur certaines décisions clés et une garantie sur leur niveau de détention du capital social.